Qu'est-ce que je venais faire au beau milieu de la forêt tard le soir ? C'est ce que vous vous demander sûrement. C'est bien de se poser des questions existentielles dont vous ne connaîtrez surement jamais la réponse.

Après avoir receuilli plusieurs informations durant toutes la semaine avec l'aide de divers créatures que j'avais trouvé dans la petite ville de Beacon Hills j'avais pu déterminer ce qui m'avait fait venir dans cette petite ville pourri. Oui faut bien l'admettre, jamais je ne serai venu dans une ville aussi pourri toute seule. On m'avait parlé d'un arbre qui devait être gigantesque autrefois avant qu'on ne le coupe. Il n'en restait plus qu'un souche. On l'appelait le Németon. Un arbre druidique. On lui aurait redonner du pouvoir il y a quelques temps et ce serait pour ça que les créatures surnaturelles seraient attirés par cette petite ville merdique. Cela expliquait pourquoi j'étais attirée par une ville qui n'aurait même pas attirée mon attention plus de 1 seconde normalement.

C'est ainsi que je me suis retrouvée dans la forêt à la recherche de cette dite souche. Je pensais devoir revenir le lendemain, quant tout à coup je le vis. Effectivement, elle était grande cette souche. Je m'agenouillais au niveau de la souche et posais ma main dessus. Je ne comprenais pas trop comment un arbre pouvait attirer une personne de ma nature.

Je me posais diverses questions lorsque j'entendis des pas derrière moi, on me héla par un "eh-la-bas". Je me retournais pour y voir un jeune homme blond, plutôt maigre. Je le détaillai de la tête au pied :

- Qu'est-ce que tu veux gamin ?

Le gamin se rapprocha de moi et semblai me détaillai de la tête au pied. Je levai un sourcil et écoutai les battements de son coeur. Son coeur battait vite, preuve qu'il y avait eu des tressautements un peu peu plus tôt. M'aurait-il pris pour une bête lorsque j'étais accroupis près de la souche ?

Il s'arrêta à environ un mètre de moi. Un léger sourire passa sur mes lèvres, il avait bien raison de garder ses distances avec moi, je pouvais lui trancher la gorge avant même qu'il ne lève le petit doigt pour se défendre.
Visiblement le fait que je l'avais appelé gamin ne le mettait pas dans une grande joie. De un whaou, il s'est compter, mais c'est magnifique, on devrait surement lui refilé une médaille pour avoir réussi à compter jusqu'à 1. Et ensuite il ne voyait pas ce qu'une femme pouvait faire dans la forêt à cet heure. Non mais je rêve il se prenait pour qui cet idiot ? Je plissais les yeux et passa la langue sur ma lèvre inférieure, il allait prendre cher ce petit merdeux.
Tout en me dévisageant, il s'était un peu plus approché de moi, un sourire malveillant passa sur mon visage. Je l'empoignais pas le col de sa chemise, nos deux visages à quelques milimètres l'un de l'autre :

- De quoi tu te mêles le mioche ? Un petit merdeux de 17 ans n'a rien à me dire. Tu te prends pour qui pour le bienfaiteur de cette ville ?

Je le relâchais violemment et il alla s'écraser par terre. Je lui jetai un regard rempli de mépris avant de poursuivre :

- Je sais exactement ce qui se trame en ville. On m'a engagé pour ça, pour arrêter un tueur

Toujours par terre le mioche ne fit plus un seul bruit. Je levai un sourcil, et reposai mes yeux sur le nemeton :

- Qu'est-ce qu'il y a tu as perdu ta langue, gamin ?

Mes sens a l'affut du moindre bruits ou odeurs suspectes ne détectaient uniquement le coeur du petit gamin. Il battait vite, j'aurai bien aimé lui dire de souffler qu'un coeur qui bat si vite n'est pas bon pour la santé .... Mais qu'est-ce que j'en avais à faire ? Il pouvait mourir d'une crise cardiaque, son coeur pouvait lâcher ... j'en avais strictement rien à faire. Quant à sa tête .... je voyais presque la fumée sortir de son cerveau et je pouvais attendre les rouages s'agitait dans tout les sens. je levai les yeux au ciel exaspérée par un petit gamin prétentieux qui se mêler de ce qui ne le regardait pas.

Il réfléchissais juste ! Oh mais il parle, il a retrouvé l'usage de sa langue ! Hallelujah ! C'est un miracle ! J'aurai bien aimé le charrier, l'embêtait un peu ... mais franchement j'étais juste pas d'humeur. Dommage pour lui, si j'avais été d'une meilleure humeur j'aurais pu lui faire passer la meilleure nuit de sa vie.
Alors que les rouages dans sa tête continuer de tourner et que la vapeur s'échappait par ses oreilles il mordilla sa lèvre inférieur qui me fit penchait la tête sur le côté interrogative. Je fronçai les sourcils aussi.

Il finit par me demander pourquoi j'étais venu ici spécialement. Je poussai un long soupir exaspéré. Mais quel merdeux ce mioche à deux pattes !! Je levai les yeux au ciel et lui répondis :

- J'ai suivi un papillon qui m'a fait suivre une coccinelle et ensuite un raton laveur et je me suis perdu dans la forêt quand j'ai vu cette chose que j'avais pris pour un hippopotame rose ailé.

Est-ce que je me foutais de sa gueule ? Bien sûr que oui ! Est-ce que j'allai continuer à me foutre de sa gueule ? Sûrement. Plus sérieusement je lui répondis :

- Un mioche à deux pattes prétentieux comme toi n'a pas des devoirs à faire au lieu de se prendre pour Sherlock Holmes ? Fiche le camp si tu ne veux pas que mon chien de garde t’arraches la tête. Pour donner plus de vigueur à mes paroles j'appelai mon ami imaginaire poilu. Brutus ? Tu as de la chair fraiche rien que pour toi

J'émis un grognement sourd qui pouvait être facilement pris pour les grognements d'un chien avec une oreille aussi médiocre que celle d'un humain. Il faisait nuit, et un oeil humain ne pouvait deviné s'il y avait un chien noir à proximité ou non. Certes, c'était ma partie jaguar qui avait émis ce grognement, mais franchement quelle différence cela faisait pour une oreille humaine ?

Il braquait sa lampe de droite à gauche en cherchant frénétiquement le chien imaginaire que j'avais. Je levai un sourcil lorsqu'il me demandait ou étais mon chien.

- Tu sais si tu bouges suffisament vite ta lampes torche tu pourras peut-être réussir à écrire ton nom.

Je soupirai, certes un peu plus tôt il m'avait sérieusement gonflé avec ces questions à la c*n mais je n'avais pas d'autre choix qui s'imposait à moi. Il faisait nuit, il était presque 23h et je ne trouverai sûrement aucun autre mec dans les environs alors autant me contenter de se gringalet. Je n'avais jamais passé une seule nuit sans avoir une relation sexuelle, ce n'était pas aujourd'hui que ça allait commencer.
Je détaillais le jeune homme de la tête au pied, dont je ne connaissais même pas le nom. Jeune, maigre, le teint assez blanchard pas blanc maladif, juste blanc. Le genre de peau qui n'accepte pas facilement de bronzer. Mouai bon ça pouvait le faire, par contre je doutais fortement qu'il ait une quelconque expérience dans ce domaine. Je tournai autour de lui histoire de voir qu'est-ce qu'il avait à offrir. Pas grand chose ... en même temps un petit gringalet ne pouvait pas avoir de belle fesse d'homme.

Je revenais en face de lui, et me rapprochais de son visage, nos deux visages à quelques millimètres l'un de l'autre. Je lui aggripais les cheveux pour mieux tourner sa tête sous toute les coutures histoire de voir si ce petit minois enfantin ne cachait pas des traits plus mûrs mais non.

- Mouai bon, tu n'es pas trop mal. Pas du tout mon type, mais je n'ai jamais passé une nuit sans avoir un plan c*l ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer, n'est-ce pas ?

Il semblait avoir perdu sa voix, encore une fois. Sûrement un puceau, intimidait par la relation sexuelle qu'il allait avoir. Je le plaquais au sol et m'asseyais en califourchon sur lui. Je passais mes mains sous sa chemise, caressant son torse, le griffant avec mes jolies petites griffes que je venais de sortir. Le jeunot semblait vouloir dire quelque chose mais aucun son ne sortait de sa bouche. Je levai un sourcil avant de l'embrasser langoureusement en arrachant sa chemise et en la jetant plus loin.

- Ne t'en fais pas, bichon, au moins quand tu rencontreras une fille qui te plait, tu auras de l'expérience. Les petites copines n'aiment pas les puceaux qui ne 'y connaissent pas.

J'enlevai ma veste, ainsi que mon haut, lui dévoilant mes seins. Je me remis à l'embrassais langoureusement, mon corps collé contre le sien, lui faisant clairement comprendre mes désirs et ce que j'attendais de son propre corps. Mes mains passèrent dans son pantalon, quand soudain, le petit jeunot retrouva l'usage de son corps....

Le petit jeunot reprenait enfin l'usage de son corps. Ses mains glissai le long de mon dos en me griffant légèrement. J'avais été beaucoup moins tendre quand je l'avais griffé, pourquoi émettre tant de retenu ? Certes j'avais bien compris qu'il était puceau, mais ce que je ne comprenais pas c'est que même si son corps commençait à répondre aux appels du mien, ne pas y aller plus franco. J'imagine que c'était la peur du débutant. J'allai clairement lui faire comprendre qu'avec moi, ça ne servait à rien d'être timide.
Il mordilla ma lèvre lorsque je l'embrassai et me fit basculer de sorte à ce que je me retrouve sous lui. Il voulait continuer, mmmh j'aimais ça même si il était puceau il ne dérobait pas et voulait explorer ce domaine qui lui était étranger, il allait être servis avec moi. Il voulait connaitre mon nom :

- Saskia. Mais ne sois pas timide avec moi, tu vas vite comprendre que tout ce qui te passe par la tête, je l'ai déjà fait en mieux ! N'hésites pas. Maintenant arrête de parler et embrasse-moi !

Alors qu'il commençait à me rembrasser ... encore sur la bouche, je l'attrapais et lui mis la tête dans ma poitrine afin qu'il comprenne ou il devait se concentrer. Je pouvais sentir entre ses jambes son atout se lever, un petit sourire se dessina sur mes lèvres. Je plongeai mes mains dans son pantalon afin de masser son atout, de jouer avec, de le caresser. Je sentais tout son corps frémir sous mes caresses, trembler sous l'envie que je lui faisais et ce que le reste de la nuit aller nous apporter.
Bien qu'il continuait à embrasser mes seins, ses mains, elles, ne savait pas quoi faire. Je lui montrai la voix, j'attrapais ses mains, et les fis aller dans mon pantalon, puis dans ma culotte. Lui aussi pouvait caresser ses parties que les humains appellent des parties intimes.
Une fois qu'il comprit quoi faire, je repris, mon petit jeux avec son atout. J'enlevai son pantalon afin de mieux me frayer un chemin vers ce qui aller suivre puis son boxer. Le jeunot se retrouver entièrement nu maintenant. Alors qu'une de mes mains, continuait à caresser ce précieux atout, d'avec mon autre main, je décidai à aller explorer ces fesses. Ces fesses aussi eurent le droit à des caresses, des pincements, et des griffures.

Je le fis basculer de sorte à me retrouver sur lui, toujours en califourchon. Bien que lui soit entièrement nu, j'avais toujours sur moi mon pantalon et ma culotte, donc le petit jeunot avait toujours sa main à l'intérieur. Au lieu qu'il continue ses caresses, je lui montrai jusqu’où sa main pouvait aller. Je fis faufiler deux de ses doigts à l'intérieur de moi, commençant doucement des va-et viens, pour qu'ils puissent voir ce qui l'attendait plus tard. Un avant goût du paradis auquel il allait goûter. Je voyais dans ses yeux des petites étoiles. Ces pupilles se dilatèrent, signe d'un profond désir et de plaisir. Je lui souris, pas un sourire bienveillant, ni un sourire diabolique, c'était un sourire de plaisir. Un sourire qui lui indiquait qu'il pouvait continuer seul, et d'aller plus profondément encore s'il le souhaiter.
Au lieu, de le précipiter vers ce qui aller être sa première nuit la plus torride, j'enlevai sa main de moi et attrapai ses deux mains pour qu'ils les collent sur mes seins, qu'ils les presse, les caresses. Même si j'avais encore mon pantalon, d'un coup de hanche, je rassemblais nos deux hanches et onduler avec grâce vers son corps, me rapprochant, m'éloignant, puis me rapprochant encore, tout en aidant ses mains à caresser ma poitrine, à ce que le jeunot s’enivre de mes seins, qu'il l'est dans la peau, jusqu'à ce que pour lui sa devienne un habitude, comme s'il l'avait toujours fait.
Après avoir passé quelques minutes à lui montrer comment s’enivrer de mes seins, je lâchais les siennes pour qu'il continue seul. Je n'avais pas arrêter mes ondulations avec mes hanches, et tout en ce faisant je déboutonnais le bouton de mon pantalon, puis la fermeture. J'arrêtai mes ondulations et décider de passer à autre chose. Je passai au corps du jeunot, il avait profité du mien, à moi d'en faire pareille maintenant. Je partis de son cou en l'embrassant, le mordillant par endroit puis descendit, à ces tétons ou avec ma langue, j'en dessinais le contour, les léchant, les attrapant avec mes dents et tirant doucement dessus. Puis je descendis, jouer avec son nombril, pareil, je le léchais mais ce n'était pas mon point d'arrivée, elle se situait encore plus bas. J'arrivais vers son atout masculin. Comme ce que j'avais fais avec les autres parties de son corps, je dessinais contour de son atout avec ma langue, l'embrassant, puis avant de continuer je regardais son visage pour savoir s'il appréciais et s'il voulait que je continue. J'y vais du plaisir, de la joie, alors je décidai de continuer. Je mis son atout dans ma bouche, lui offrant des va-et-viens, sortant parfois les dents, parfois l'enlevant, afin de le lécher

Alors que je continuai mon petit jeu, j'entendis un gémissement de plaisir que pousser le jeunot.